L’histoire de notre Congrégation
L’histoire de notre Congrégation
L’histoire de la Congrégation
Monseigneur Michel-Thomas Labrecque
Monseigneur Michel-Thomas Labrecque devient le troisième évêque de Chicoutimi en 1892. En visitant son diocèse, s’étendant jusqu’à la Côte-Nord, le nouvel évêque remarque un besoin criant d’institutrices dans les paroisses plus éloignées et moins bien nanties. Pour répondre à ce problème, il aspire à fonder une communauté de religieuses enseignantes destinées à se déplacer à travers ce vaste territoire pour remplir leur mission d’éducation. Il entrevoit Françoise Simard, alors enseignante à Saint-Fulgence, comme future fondatrice de la congrégation qu’il souhaite voir naître.
Le 4 novembre 1894, vers 16 heures, Françoise s’apprête à embarquer dans la chaloupe qui les conduira – elle, son beau-frère et un marin – de l’autre côté de la Rivière Saguenay, qui s’est calmée après une journée mouvementée. Cependant, après quelques brasses, la tempête se lève et les vagues menacent de couler la minuscule embarcation. Une intervention du diable ? Néanmoins, le bateau terrasse le danger : la fondation sera prospère.
Appelées à vivre selon la spiritualité de Saint-François de Sales, les Sœurs de Notre-Dame du Bon-Conseil de Chicoutimi assurent, au rythme des besoins, une présence éducative dans la majorité des écoles sur le vaste diocèse qui s’étend, à cette époque, de la Basse-Côte-Nord jusqu’aux confins du Lac-Saint-Jean. Plus tard, la Congrégation répond sans hésiter à l’invitation des autorités civiles et ecclésiastiques en fondant une École ménagère régionale supérieure (1944), une École normale (1947) et un Institut familial (1951).
Les années 1960 au Québec ébranlent les structures sociales, scolaires et religieuses. La Congrégation, qui voit s’éclaircir ces rangs, change son orientation vers le service communautaire mais sans jamais abandonner sa mission : instruire. Il s’agit de toujours cultiver, avec le même soin, la vigne qui lui est confiée !
Monseigneur Michel-Thomas Labrecque
Monseigneur Michel-Thomas Labrecque devient le troisième évêque de Chicoutimi en 1892. En visitant son diocèse, s’étendant jusqu’à la Côte-Nord, le nouvel évêque remarque un besoin criant d’institutrices dans les paroisses plus éloignées et moins bien nanties. Pour répondre à ce problème, il aspire à fonder une communauté de religieuses enseignantes destinées à se déplacer à travers ce vaste territoire pour remplir leur mission d’éducation. Il entrevoit Françoise Simard, alors enseignante à Saint-Fulgence, comme future fondatrice de la congrégation qu’il souhaite voir naître.
Le 4 novembre 1894, vers 16 heures, Françoise s’apprête à embarquer dans la chaloupe qui les conduira – elle, son beau-frère et un marin – de l’autre côté de la Rivière Saguenay, qui s’est calmée après une journée mouvementée. Cependant, après quelques brasses, la tempête se lève et les vagues menacent de couler la minuscule embarcation. Une intervention du diable ? Néanmoins, le bateau terrasse le danger : la fondation sera prospère.
Appelées à vivre selon la spiritualité de Saint-François de Sales, les Sœurs de Notre-Dame du Bon-Conseil de Chicoutimi assurent, au rythme des besoins, une présence éducative dans la majorité des écoles sur le vaste diocèse qui s’étend, à cette époque, de la Basse-Côte-Nord jusqu’aux confins du Lac-Saint-Jean. Plus tard, la Congrégation répond sans hésiter à l’invitation des autorités civiles et ecclésiastiques en fondant une École ménagère régionale supérieure (1944), une École normale (1947) et un Institut familial (1951).
Les années 1960 au Québec ébranlent les structures sociales, scolaires et religieuses. La Congrégation, qui voit s’éclaircir ces rangs, change son orientation vers le service communautaire mais sans jamais abandonner sa mission : instruire. Il s’agit de toujours cultiver, avec le même soin, la vigne qui lui est confiée !
Monseigneur Michel-Thomas Labrecque devient le troisième évêque de Chicoutimi en 1892. En visitant son diocèse, s’étendant jusqu’à la Côte-Nord, le nouvel évêque remarque un besoin criant d’institutrices dans les paroisses plus éloignées et moins bien nanties. Pour répondre à ce problème, il aspire à fonder une communauté de religieuses enseignantes destinées à se déplacer à travers ce vaste territoire pour remplir leur mission d’éducation. Il entrevoit Françoise Simard, alors enseignante à Saint-Fulgence, comme future fondatrice de la congrégation qu’il souhaite voir naître.
Le 4 novembre 1894, vers 16 heures, Françoise s’apprête à embarquer dans la chaloupe qui les conduira – elle, son beau-frère et un marin – de l’autre côté de la Rivière Saguenay, qui s’est calmée après une journée mouvementée. Cependant, après quelques brasses, la tempête se lève et les vagues menacent de couler la minuscule embarcation. Une intervention du diable ? Néanmoins, le bateau terrasse le danger : la fondation sera prospère.
Appelées à vivre selon la spiritualité de Saint-François de Sales, les Sœurs de Notre-Dame du Bon-Conseil de Chicoutimi assurent, au rythme des besoins, une présence éducative dans la majorité des écoles sur le vaste diocèse qui s’étend, à cette époque, de la Basse-Côte-Nord jusqu’aux confins du Lac-Saint-Jean. Plus tard, la Congrégation répond sans hésiter à l’invitation des autorités civiles et ecclésiastiques en fondant une École ménagère régionale supérieure (1944), une École normale (1947) et un Institut familial (1951).
Les années 1960 au Québec ébranlent les structures sociales, scolaires et religieuses. La Congrégation, qui voit s’éclaircir ces rangs, change son orientation vers le service communautaire mais sans jamais abandonner sa mission : instruire. Il s’agit de toujours cultiver, avec le même soin, la vigne qui lui est confiée !
Françoise Simard, notre fondatrice
Quatrième d’une famille de treize enfants, Françoise Simard naît le 18 janvier 1851 à Saint-Alphonse de Bagotville (La Baie). Très tôt, la jeune fille démontre une intelligence vive, une compréhension aisée et un cœur affectueux et compatissant.
Sa santé fragile la force à arrêter l’école à 13 ans et à abandonner ses deux essais de vie religieuse : l’un chez les Sœurs du Bon-Pasteur de Québec et l’autre au noviciat des Soeurs Grises de Montréal. Elle remet alors sa cause entre les mains de Saint-Joseph en disant : « Il me semble avoir fait ma part pour correspondre à l’appel divin ; si réellement Dieu me veut religieuse, il viendra lui-même me chercher. »
Elle entre alors au service de monsieur Pierre Huber Beaudet, curé de Saint-Alphonse. En 1880, elle le suit lors de son transfert à la cure de Baie-Saint-Paul.
Dix ans plus tard, après la mort de M. Beaudet, elle revient à Saint-Anne où résident ses parents âgés, attendant alors, sans le savoir, la demande qui allait marquer le début d’une fondation florissante.
Françoise Simard, notre fondatrice
Quatrième d’une famille de treize enfants, Françoise Simard naît le 18 janvier 1851 à Saint-Alphonse de Bagotville (La Baie). Très tôt, la jeune fille démontre une intelligence vive, une compréhension aisée et un cœur affectueux et compatissant.
Sa santé fragile la force à arrêter l’école à 13 ans et à abandonner ses deux essais de vie religieuse : l’un chez les Sœurs du Bon-Pasteur de Québec et l’autre au noviciat des Soeurs Grises de Montréal.
Elle remet alors sa cause entre les mains de Saint-Joseph en disant : « Il me semble avoir fait ma part pour correspondre à l’appel divin ; si réellement Dieu me veut religieuse, il viendra lui-même me chercher. »
Elle entre alors au service de monsieur Pierre Huber Beaudet, curé de Saint-Alphonse. En 1880, elle le suit lors de son transfert à la cure de Baie-Saint-Paul.
Dix ans plus tard, après la mort de M. Beaudet, elle revient à Saint-Anne où résident ses parents âgés, attendant alors, sans le savoir, la demande qui allait marquer le début d’une fondation florissante.
Françoise Simard, la fondatrice
Quatrième d’une famille de treize enfants, Françoise Simard naît le 18 janvier 1851 à Saint-Alphonse de Bagotville (La Baie). Très tôt, la jeune fille démontre une intelligence vive, une compréhension aisée et un cœur affectueux et compatissant.
Sa santé fragile la force à arrêter l’école à 13 ans et à abandonner ses deux essais de vie religieuse : l’un chez les Sœurs du Bon-Pasteur de Québec et l’autre au noviciat des Soeurs Grises de Montréal.
Elle remet alors sa cause entre les mains de Saint-Joseph en disant : « Il me semble avoir fait ma part pour correspondre à l’appel divin ; si réellement Dieu me veut religieuse, il viendra lui-même me chercher. »
Elle entre alors au service de monsieur Pierre Huber Beaudet, curé de Saint-Alphonse. En 1880, elle le suit lors de son transfert à la cure de Baie-Saint-Paul.
Dix ans plus tard, après la mort de M. Beaudet, elle revient à Saint-Anne où résident ses parents âgés, attendant alors, sans le savoir, la demande qui allait marquer le début d’une fondation florissante.