Quelques témoignages

Quelques témoignages

Pour raconter l’histoire, il faut se tourner vers celles qui l’ont vraiment vécue. Consultez ce répertoire pour découvrir de courtes capsules dans lesquelle des religieuses du Bon-Conseil vous racontent divers éléments de leur expérience.

Pour raconter l’histoire, il faut se tourner vers celles qui l’ont vraiment vécue. Consultez ce répertoire pour découvrir de courtes capsules dans lesquelle des religieuses du Bon-Conseil vous racontent divers éléments de leur expérience.

Sœur Evelyne Breault, n.d.b.c.

Née en 1914 au Nouveau-Brunswick, Evelyne Breault et sa famille déménagent à Arvida où elle fera la connaissance des religieuses du Bon-Conseil, qu’elle rejoindra en 1945 sous le nom de sœur Saint-Victor. La sachant habile de ses mains et de son esprit, la Communauté la charge, vers 1949, de se former à un métier peu commun : denturologue.

En effet, puisqu’une congrégation doit subvenir à ses propres besoins et que les religieuses doivent prendre soin de leurs consœurs vieillissantes, l’importance de la fabrication de dentiers est à ne pas négliger. Autodidacte, elle s’adonne ensuite à toutes sortes de passe-temps artistiques : peinture, sculpture, dessin. Elle peint d’ailleurs une série de 15 tableaux représentant l’histoire de la Fondatrice à l’occasion du centenaire de la Congrégation en 1994.

Sœur Evelyne Breault (Saint-Victor ; 1914-2014)

Sœur Evelyne Breault, n.d.b.c.

Née en 1914 au Nouveau-Brunswick, Evelyne Breault et sa famille déménagent à Arvida où elle fera la connaissance des religieuses du Bon-Conseil, qu’elle rejoindra en 1945 sous le nom de sœur Saint-Victor. La sachant habile de ses mains et de son esprit, la Communauté la charge, vers 1949, de se former à un métier peu commun : denturologue.

Sœur Evelyne Breault (Saint-Victor ; 1914-2014)

En effet, puisqu’une congrégation doit subvenir à ses propres besoins et que les religieuses doivent prendre soin de leurs consœurs vieillissantes, l’importance de la fabrication de dentiers est à ne pas négliger. Autodidacte, elle s’adonne ensuite à toutes sortes de passe-temps artistiques : peinture, sculpture, dessin. Elle peint d’ailleurs une série de 15 tableaux représentant l’histoire de la Fondatrice à l’occasion du centenaire de la Congrégation en 1994.

Sœur Marguerite Pedneault (Hermance-de-Jésus ; 1914-2016)

Sœur Marguerite Pedneault, n.d.b.c.

Née en 1914 dans une famille de cultivateurs d’Arvida, Marguerite Pedneault fait profession chez les Sœurs du Bon-Conseil en 1933 sous le nom de sœur Hermance-de-Jésus.  Après avoir terminé son brevet élémentaire qui lui permet d’enseigner dans les écoles de la Congrégation, elle est envoyée à Port-Alfred pour trois ans, puis à Saint-Joseph d’Alma. 

En 1938, alors que la Communauté entame les démarches pour fonder le Scolasticat-École normale, elle est chargée d’aller apprendre la méthode de dessin afin de pouvoir l’enseigner.

Le Scolasticat-École normale

En 1932, alors que le monde de l’enseignement québécois renouvelle son curriculum et ses méthodes pédagogiques, les communautés religieuses doivent se doter de nouvelles connaissances et compétences. C’est dans cette idée que le Scolasticat-École normale est fondé en 1938, dans les locaux de la Congrégation. Des religieuses de Notre-Dame du Bon-Conseil pourront y affiner leur formation d’enseignante pour être en accord avec les changements de l’époque. C’est aussi là que sœur Marguerite Pedneault pourra y enseigner la méthode de dessin qu’elle a si méticuleusement apprise…

Sœur Marguerite Pedneault (Hermance-de-Jésus ; 1914-2016)

Sœur Marguerite Pedneault, n.d.b.c.

Née en 1914 dans une famille de cultivateurs d’Arvida, Marguerite Pedneault fait profession chez les Sœurs du Bon-Conseil en 1933 sous le nom de sœur Hermance-de-Jésus.  Après avoir terminé son brevet élémentaire qui lui permet d’enseigner dans les écoles de la Congrégation, elle est envoyée à Port-Alfred pour trois ans, puis à Saint-Joseph d’Alma. 

En 1938, alors que la Communauté entame les démarches pour fonder le Scolasticat-École normale, elle est chargée d’aller apprendre la méthode de dessin afin de pouvoir l’enseigner.

Le Scolasticat-École normale

En 1932, alors que le monde de l’enseignement québécois renouvelle son curriculum et ses méthodes pédagogiques, les communautés religieuses doivent se doter de nouvelles connaissances et compétences. C’est dans cette idée que le Scolasticat-École normale est fondé en 1938, dans les locaux de la Congrégation. Des religieuses de Notre-Dame du Bon-Conseil pourront y affiner leur formation d’enseignante pour être en accord avec les changements de l’époque. C’est aussi là que sœur Marguerite Pedneault pourra y enseigner la méthode de dessin qu’elle a si méticuleusement apprise…

Sœur Marguerite-Marie Mathieu, n.d.b.c.

Dernière d’une famille de 14 enfants, Marguerite-Marie Mathieu est née en 1898 aux États-Unis près de Rhodes Island, où elle passe deux ans avant de déménager au Lac-Saint-Jean sur l’ancienne ferme familiale. À son retour, elle suit les traces de sa sœur ainée et rejoint les Sœurs du Bon-Conseil en 1918 sous le nom de sœur Sainte-Lucie. 

Reconnue pour ses talents musicaux, elle pratique assidûment le piano, si bien qu’on la remarque pour un poste de professeure de musique à Kénogami. Elle en parle dans l’extrait qui suit.

Sœur Marguerite-Marie Mathieu (Sainte-Lucie ; 1898-1997)

Sœur Marguerite-Marie Mathieu, n.d.b.c.

Dernière d’une famille de 14 enfants, Marguerite-Marie Mathieu est née en 1898 aux États-Unis près de Rhodes Island, où elle passe deux ans avant de déménager au Lac-Saint-Jean sur l’ancienne ferme familiale. À son retour, elle suit les traces de sa sœur ainée et rejoint les Sœurs du Bon-Conseil en 1918 sous le nom de sœur Sainte-Lucie. 

Reconnue pour ses talents musicaux, elle pratique assidûment le piano, si bien qu’on la remarque pour un poste de professeure de musique à Kénogami. Elle en parle dans l’extrait qui suit.

Sœur Marguerite-Marie Mathieu (Sainte-Lucie ; 1898-1997)